Invité de la grande édition de l’information de Golf Tv Africa, vendredi dernier, Martin Vihoutou Assogba, directeur exécutif de l’Ong Alcrer a répondu à la question : est-ce que la société civile béninoise est toujours active ? Une question à laquelle il a répondu « Oui »
La société civile béninoise est toujours active et agissante. Martin Vihoutou Assogba, directeur exécutif de l’Ong Alcrer défend cette affirmation et la justifie. Invité vendredi dernier dans la grande édition du journal de Golf Tv Africa, il a affirmé que depuis toujours, les Osc sont plurielles, par conséquent, dans chaque compartiment, chacun fait son travail. Par exemple, avance, le directeur exécutif de l’Ong Alcrer, lors des élections législatives du 08 janvier dernier, comme à l’accoutumée, les Osc ont fait comme il se doit leur travail de supervision. « Moi-même qui suis là, j’ai parcouru 46 bureaux de votes » a fait savoir Monsieur Assogba. Le plus récent, indexe-t-il, lors de l’accident ayant causé plus d’une vingtaine de morts à Dassa-Zoumé, son organisation, à l’instar de beaucoup d’autres sont montées au créneau pour faire des propositions au gouvernement. Idem pour les actions d’accompagnement de la réforme du système partisan. Par conséquent, la société civile est toujours active.
La seule chose que le fondateur de l’Ong Alcrer concède est peut-être liée aux changements de méthodes. « On n’entend plus l’ong Alcrer (…) Moi, si je ne monte plus au créneau, c’est parce que la plupart des choses pour lesquels je montais au créneau sont prises en compte par le gouvernement. De plus, mes cadres font le travail intellectuel. Nous envoyons des dossiers à la BEF et à la Criet. (…) Désormais, j’ai mis un peu de diplomatie dans mon travail pour encourager ceux qui, à mon avis font mieux qu’avant » a avancé Martin Vihoutou Assogba
